Quentin Bataillon Vie Privée – En 2022, il est élu député de la première circonscription de la Loire. Quentin Bataillon a obtenu un master en communication en 2015 à l’EFAP. À l’âge de dix-sept ans, Quentin Bataillon est devenu directeur de campagne du candidat UMP Henri Nigay aux élections cantonales françaises de 2011, marquant une entrée précoce et impressionnante en politique.
Il a commencé à travailler pour la société Bygmalion pendant trois ou quatre mois en 2012, alors qu’il avait dix-huit ans. Puis, “pendant la campagne présidentielle” et les législatives qui suivent, il rencontre Jérôme Lavrilleux, qui le présente aux élus UMP qu’il connaît et devient le pourvoyeur d’affaires de Bygmalion. Lavrilleux devient également l’assistant parlementaire de Françoise Grossetête.
Il a été élu conseiller municipal de Feurs en mars 2014 et siège aux côtés de Jean-Pierre Taite, maire depuis 2008 et également délégué au numérique et au service civique ; Taite sera choisi comme adjoint du groupe LR en 2022. Après avoir rencontré Bastien Millot, il se rapproche de Jérôme Lavrilleux, et trois mois plus tard, en août 2014, il devient l’assistant législatif de Lavrilleux.
Il a également travaillé avec Nicolas Legrain, ancien comptable du groupe UMP à l’Assemblée. En fin d’année, il est nommé conseiller du cabinet de Franck Riester en tant que ministre de la culture.
Après être devenu secrétaire général de l’Assemblée nationale en novembre, il quittera ses fonctions en juin 2020 pour participer à la création du groupe Agir ensemble.
Bien qu’il ait été désigné premier sur les listes ligériennes et ait obtenu 8,74 % des suffrages, il a décidé de se retirer en décembre 2021 pour se consacrer à la majorité présidentielle. Il a battu la représentante du NUPES Laetitia Copin au poste de député de la première circonscription de la Loire le 19 juin 2022 et a obtenu 52,10 % des voix.
L’incident impliquant Bygmalion
C’est lors d’une enquête menée par le magazine Le Point en février 2014 que l’affaire Bygmalion a été révélée. Cette affaire concerne principalement le financement de la campagne présidentielle française de 2012 de l’UMP, à laquelle Quentin Bataillon a participé lorsqu’il travaillait chez Bygmalion.
Peu de temps après, Jérôme Lavrilleux, ancien directeur de cabinet de Jean-François Copé et mentor des juges impliqués dans le scandale Bygmalion, est inscrit sur la liste UMP pour les élections européennes de juin lors de son élection, il nomme Quentin Bataillon pour être son adjoint.
Il a cependant fait l’objet d’une procédure d’exclusion déposée par l’UMP lorsque de nombreux membres du parti ont exigé sa démission. Courant août, Johann Cesa, conseiller socialiste et opposant de Feurs, a demandé des explications publiques à Quentin Bataillon sur son implication dans la société Bygmalion. “Pourquoi Quentin Bataillon a-t-il décidé de s’associer à Jérôme Lavrilleux dans le scandale Bygmalion ?” remet en question un article de France Bleu de la même année.
Le poste de président de la commission d’enquête TNT
Alors que tous deux étaient interrogés par la commission d’enquête sur les fréquences de la télévision numérique terrestre (TNT) qu’il dirige, il défraye la chronique en 2024 pour avoir critiqué Yann Barthès dans l’émission de Cyril Hanouna. Hanouna lui a même offert un t-shirt en cadeau.
La cheffe de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, publie un communiqué dans lequel elle réclame « discernement » et « réserve » 16 « pour assurer la sérénité des travaux et la crédibilité des enquêtes » et le rappelle à l’ordre. Sa démission de la direction de la commission est réclamée par les dirigeants socialistes, les générations et les « rebelles ».
La députée Sophie Taillé-Polian a endossé le rôle de déontologue de l’Assemblée, mais il a le soutien de Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement national. Reconnaissant un malaise, Quentin Bataillon exprime ses regrets, excluant ainsi la possibilité d’une démission.
Avec son énergie et son aplomb juvéniles, Renaissance de la Loire a présidé la commission d’enquête parlementaire chargée d’enquêter sur la répartition des fréquences de la télévision numérique terrestre. Les auditions qu’elle a présidées, auxquelles ont participé Cyril Hanouna et Vincent Bolloré, ont été très fréquentées.
Un chef d’État charmant
Quiconque préside la commission parlementaire chargée d’examiner la répartition des fréquences de la télévision numérique terrestre (TNT) voit défiler les élites politiques et médiatiques. Parmi les invités figurent Vincent Bolloré, Rodolphe Saadé et d’autres personnalités des médias, ainsi que d’anciens ministres de la culture, ainsi que des animateurs de C8 et CNews (qui ont été sanctionnés à plusieurs reprises par la police de l’audiovisuel).
Un sourire n’a jamais quitté le visage du président alors qu’il présidait les séances. De nombreux spectateurs ont trouvé que le spectacle manquait d’une véritable pugnacité. D’autres ont perçu la composure et maîtrise. Concernant Cyril Hanouna, il a clamé dans son émission “TPMP” que l’élu était “génial” au lendemain de sa comparution devant la commission.
Aurélien Saintoul, le rapporteur « insoumis » de la commission, a également été source de polémique lors des réunions. Lors de l’audition de Rachida Dati le 21 mars, Quentin Bataillon a réagi avec colère lorsque son collègue, qu’il accusait d’entretenir « un climat négatif », avait le micro.
Un pionnier dans le domaine politique
Patrick, le père du jeune homme, possède une chocolaterie à Feurs, ville ligérienne où il est né en 1993. Mais Quentin Bataillon a été entraîné dans le tourbillon politique. A tout juste 21 ans, il est élu conseiller municipal de Feurs. Aux élections législatives de 2022, il remporte la première circonscription de la Loire sous l’étiquette Renaissanceosure et maîtrise.
Concernant Cyril Hanouna, il a clamé dans son émission “TPMP” que l’élu était “génial” au lendemain de sa comparution devant la commission. Aurélien Saintoul, le rapporteur « insoumis » de la commission, a également été source de polémique lors des réunions. Lors de l’audition de Rachida Dati le 21 mars, Quentin Bataillon a réagi avec colère lorsque son collègue, qu’il accusait d’entretenir « un climat négatif », avait le micro.
Un pionnier dans le domaine politique
Patrick, le père du jeune homme, possède une chocolaterie à Feurs, ville ligérienne où il est né en 1993. Mais Quentin Bataillon a été entraîné dans le tourbillon politique. A tout juste 21 ans, il est élu conseiller municipal de Feurs. Aux élections législatives de 2022, il remporte la première circonscription de la Loire sous l’étiquette Renaissance.
Depuis lors, le fonctionnaire s’est appliqué à répondre avec diligence aux besoins de ses électeurs. Il a mobilisé cet hiver le soutien des salariés du groupe de distribution Casino. La société a fait l’objet d’une restructuration financière et a son siège social à Saint-Etienne. Une assurance de « priorité », dit-il.
Il a créé le collectif Casino dans le but de maintenir les emplois dans la région. Cependant, le plan a échoué. Le député Renaissance Quentin Bataillon sera l’invité de France Info ce jeudi 4 avril. Il a fait un retour remarqué après son passage dans l’émission TPMP mardi, où il a critiqué l’audition de l’animateur Yann Barthès.
C’est une “maladresse” qu’il a remarquée. Suite à la polémique, un commentaire. Le président de la commission d’enquête de la TNT et député Renaissance Quentin Bataillon était l’invité de France Info ce jeudi 4 avril, suite à son apparition controversée mardi dans l’émission TPMP, où il avait critiqué le présentateur de TMC Yann Barthès comme “arrogant”.
Quentin Bataillon a reconnu une “maladresse” tout au long de l’émission : j’ai fait à la fois des éloges et des critiques. Beaucoup d’entre nous ont estimé que l’audience s’était déroulée de manière plutôt informelle. Était-ce intelligent de le faire sur le même plateau que leurs plus grands rivaux ? Non.
Il dit que c’était une mauvaise décision et qu’il se sent mal. En réponse à ces déclarations, Yaël Braun-Pivet, qui est également membre du parti majoritaire à l’Assemblée nationale, a exhorté mercredi Quentin Bataillon à faire preuve de « réserve » et de « discernement ». “La neutralité d’un président s’apprécie par sa gestion des auditions”, a déclaré mercredi le président de la commission d’enquête du TNT dans les rubriques Opinion.
Leur conclusion a eu lieu le 28 mars, et nous en sommes maintenant aux phases de rédaction du rapport et de contribution des groupes politiques. Le devoir d’enseigner, c’est d’aller sur tous les plateaux qui m’invitent, dit-il, ajoutant deux points supplémentaires. Le plateau de Cyril Hanouna a été agrémenté de la présence, mardi dernier, du président de la commission TNT.
Yann Barthès a été agressé par Quentin Bataillon lors de son passage. L’animateur du Quotidien revient vers vous. Mardi, le responsable de la commission chargée d’examiner la répartition des fréquences de la TNT a critiqué Yann Barthès, le qualifiant d'”arrogant”, lors d’une intervention dans l’émission TPMP. Lors de son émission “Quotidien” mercredi soir dernier, Yann Barthès a fait part de ses inquiétudes.
“Si je suis arrogant, dites-le moi”, lance Yann Barthès en ouvrant son concert du mercredi 3 avril. L’animateur de TMC critique la “constance politique” du député Renaissance, terme qu’il tente de définir. “Ça va être extrêmement bref”, commence-t-il. Dans la foulée, un tweet de Quentin Bataillon datant de janvier 2023, dans lequel le député critique Cyril Hanouna et son émission “Touche pas à mon poste”, est diffusé.
Ce mardi 2 avril, le plateau de Cyril Hanouna comportera un extrait du même député, en contraste avec ce post. C’était l’indépendance, l’impartialité, la réserve, l’objectivité et la constance, raconte Yann Barthès après cet extrait. Nous n’avons pas à résoudre les désaccords en direct à la télévision, et nous ne le ferons certainement pas.
En réponse au député, Yann Barthès conclut : Mais je veux simplement dire au président de la commission qu’il a ruiné une commission qui aurait pu apporter quelque chose au débat démocratique. Un extrait devenu viral sur les réseaux sociaux en soutien au présentateur.
Après son apparition mardi sur le plateau de Cyril Hanouna, pour qui il avait auditionné, le député Renaissance Quentin Bataillon, président de la commission d’enquête sur les fréquences TV, est sous le feu des projecteurs, s’attirant critiques et demandes de démission de la gauche.
Sur le sujet, l’entretien de trente minutes avec le député de la Loire dans l’émission “Touche pas à mon poste” (TPMP) de C8 ne se terminera que début mai, pendant que la commission qu’il préside travaille à l’attribution des fréquences de la TNT. Le fait que Quentin Bataillon, élu de la majorité présidentielle, ait déjà critiqué le présentateur Yann Barthès, concurrent de Cyril Hacelui de Nouna lors d’une audition n’a fait qu’intensifier les attaques.
Selon Yaël Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée nationale, nous devons faire preuve de prudence et de réflexion dans nos déclarations publiques jusqu’à ce que l’enquête soit finalisée. Sylvain Maillard aurait appelé M. Bataillon mardi soir “pour le réprimander pour les propos qu’il a tenus”, selon des proches du président du groupe Renaissance à l’Assemblée. C’est une erreur de jugement, a fait remarquer un conseiller exécutif.
Les gauchistes sont ceux qui accusent le plus durement. Selon Manuel Bompard, coordinateur de La France insoumise, dont les adjoints ont créé ce comité, Hanna Hanouna est couverte par le président de la commission d’enquête de la TNT, même si l’Arcom, le régulateur de l’audiovisuel, l’a largement condamné. Suite à la disqualification de M. Bataillon, “le macronisme sombre dans la collusion avec Bolloré”, le milliardaire conservateur qui dirige Canal+, dont C8, a déclaré M. Bompard.
