Julie Fuchs Taille : La soprano Julie Fuchs est née à Meaux, en France, le 24 juillet 1984. Elle est devenue célèbre en tant que soprano lyrique légère.
Les jeunes et leurs efforts en classe
Les parents de Julie Fuchs étaient professeurs de natation et directeur commercial. Elle est née à Meaux. Elle a passé son enfance à Avignon. Elle a commencé à prendre des cours de violon dès l’âge de sept ans et a complété ses études musicales formelles au Conservatoire d’Avignon. Elle est devenue membre de la chorale européenne « Voices of Europe » après avoir suivi un programme intensif de formation vocale comprenant du jazz, des chansons et bien plus encore.
Elle a joué sur tout le continent, a partagé la scène avec Björk et a collaboré avec Arvo Pärt sur la chanson “Which was the son of” lorsqu’elle y était. Au cours de ses premières années de musicien, cette expérience est marquante puisqu’elle l’incite à explorer davantage sa voix. Après avoir terminé ses études secondaires, elle a poursuivi ses activités artistiques en suivant des ateliers de théâtre et en perfectionnant sa voix de chant lyrique.
Pour son audition de 2006, elle choisit le Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Susanna des Noces de Figaro de Mozart et Elle de Masked Love de Messager y ont fait ses débuts sur scène. Elle rencontre le pianiste Alphonse Cemin et le chanteur Le Balcon au CNSMDP ; ils jouent toujours ensemble le répertoire lied et mélodique. Elle a reçu le premier prix de chant en 2010 après avoir reçu l’approbation unanime des juges.
Carrière
Après avoir obtenu son diplôme, Julie Fuchs n’a pas perdu de temps pour démarrer sa carrière d’actrice. Sa performance marquante fut sans aucun doute ses débuts dans le rôle de Galatée dans l’opéra de Haendel au Festival d’Aix-en-Provence. Lorsqu’elle rejoint l’Opéra de Zurich en 2013, elle y reste deux ans. Elle incarne Marzelline dans Fidelio, Morgana dans Alcina, Susanna dans Les Noces de Figaro, Angelica dans Orlando et Colette Folleville dans Il viaggio a Reims.
En 2014, Julie Fuchs décroche un contrat avec la prestigieuse maison de disques Deutsche Grammophon. Lancé en 2015, son CD « Yes » était un hommage au répertoire français des années folles. C’est l’année de ses débuts dans le rôle de Folie dans la production de la Platée de Rameau à l’Opéra de Paris, de ses débuts à l’Opéra de Zurich dans le rôle de la Comtesse Folleville et, surtout, de sa prestation sous la Tour Eiffel lors du “Concert de Paris” le 14 juillet 2015.
Elle a fait ses débuts au Festival de Salzbourg en tant que soprano, interprétant une pièce précieuse de son répertoire : la Messe en ut de Mozart. Aux Chorégies d’Orange et aux BBC Proms en 2016, elle a joué le rôle de Musetta dans La Bohème au Bayerische Staatsoper de Munich et a été chef invité dans de nombreuses autres salles.
C’est l’année de sa première représentation à l’Opéra national de Vienne, où elle triomphe dans le rôle-titre de La Fille du Régiment de Donizetti. Julie Fuchs a interprété le rôle d’Esther dans Trompe-la-mort 2017 de Luca Francesconi à l’Opéra de Paris. Ses débuts sur scène ont eu lieu au Teatro Real de Madrid dans le rôle de la terrifiante Giunia dans Lucio Silla de Mozart, puis elle a repris son rôle de Nanetta dans Falstaff à l’Opéra de Paris.
La Comtesse Adèle (Le Comte Ory, Rossini, nouvelle production de Denis Podalydès, Opéra-Comique) ou Poppea (L’Incoronazione di Poppea, Monteverdi, nouvelle production de Calixto Bieito, Opéra de Zurich) sont deux de ses rôles de 2018. De plus, en 2018, elle a été au centre d’un tourbillon médiatique autour des circonstances entourant son départ de son rôle de Pamina dans l’interprétation de l’Opéra de Hambourg de La Flûte enchantée de Mozart.
L’importance des efforts en cours pour promouvoir les droits des femmes est soulignée par sa déclaration publique. En 2020, elle fait ses débuts avec Norina dans Don Pasquale à l’Opernhaus de Zürich et elle est jurée dans l’émission Prodiges de France 2 aux côtés du violoncelliste Gautier Capuçon et de la danseuse de renom Marie-Claude Pietragalla.
Son rôle de Fiorilla dans Le Turc et son interprétation de Pamina dans La Flûte enchantée ont fait leurs débuts respectivement en 2021 à l’Opéra San Carlo en Italie et à l’Opéra national de Paris 3.
Julie Fuchs a fait un retour triomphal à l’Opernhaus de Zurich en 2021-2022, dans le rôle-titre de L’incoronazione di Poppea. Au 7e Opéra de Paris cet été, elle a chanté La Folie (Platée) [Quand ?]. Sa saison culminera avec le retour d’Adèle dans Le Comte Ory, qu’elle a chanté pour la première fois au Festival Rossini.
Dans le rôle de Giulietta dans I Capuleti ei Montecchi de Bellini, Julie Fuchs fera ses débuts à l’Opéra de Paris au cours de la saison 2022-2023, marquant ainsi sa deuxième apparition dans la compagnie. Alors que la nouvelle année commençait, Julie a fait ses débuts à l’Opéra national néerlandais dans le rôle de Cléopâtre dans la production de Calixto Bieito de Giulio Cesare, un opéra de Haendel réinventé.
Cet été, elle a interprété le titre rôle dans L’incoronazione di Poppea au Gran Teatre del Liceu, marquant la fin de sa dixième saison sur scène. Elle reviendra sur la scène du Palais Garnier dans le rôle de Norina dans Don Pasquale de Donizetti pour lancer sa saison 2023-2024. Au cours du second semestre 2023, elle fera ses débuts théâtraux au Teatro Real de Madrid dans le rôle de Gilda dans Rigoletto, un opéra de Giuseppe Verdi.
Sony Classical a annoncé un accord multidisque avec lui en 2022. Son premier album, Amadè, un hommage total à Mozart, sortira sur le label le 18 novembre 2022. Meaux est la ville où Julie Fuchs est née et a grandi en France.
Débranchée, elle a chanté une mélodie
Julie Fuchs, 33 ans, est née et a grandi à Avignon. Pendant que son père travaille dans la vente, sa mère enseigne la natation. Même si elle n’est pas issue d’une famille de musiciens, elle fréquente néanmoins le Conservatoire pour apprendre le violon. Mais ses professeurs de solfège ne pouvaient s’empêcher de remarquer sa voix chantante.
Elle s’est ensuite inscrite à un programme de violon et de chant à la fin de ses études. Pendant le festival, Julie et ses amis du Conservatoire forment un quintette a cappella et se produisent dans les rues d’Avignon. Des chanteurs de jazz et de musique classique européenne sont programmés. Une excellente option pour gagner de l’argent supplémentaire est de le faire pendant les vacances d’été.
De plus, la brune a remporté le premier prix de chant et de violon au Conservatoire, où elle excellait également. Même si Julie Fuchs envisageait initialement de devenir violoniste, elle a changé de spécialisation pour le chant à l’âge de 18 ans afin de capitaliser sur son talent naturel. Et ce, malgré ses années d’études de violon au Conservatoire. J’ai pu m’exprimer complètement ; c’était une surprise.
En restant violoniste, elle a peut-être raté quelque chose d’important, a-t-elle déclaré en 2015. Le 9 décembre, elle interprète avec férocité “Ave Maria” de Schubert avec le violoncelliste Gautier Capuçon, tandis que le père Gilbert regarde le cercueil de la rock star dans l’église de la Madeleine à Paris. Depuis plusieurs saisons, les paroliers surveillent de près la voix exquise de la soprano française ; maintenant, le grand public la découvre également.
De son succès “Ciboulette” de l’Opéra-Comique de 2013 à ses performances dans le rôle de “la Folie” (Eliza Doolittle dans “My Fair Lady” de Metz et la comtesse de Folleville dans “Voyage à Reims” de Rossini à l’Opéra de Zurich), cette imposante et joyeuse la fille aime clairement les rôles épicés.
Elle a déclaré en 2015 qu’elle ne se limiterait pas à des rôles comiques. Elle a donné du culot de vivandière à “La Fille du Régiment” à Lausanne, mais sa triste performance dans “Lucia di Lammermoor” à l’opéra d’Avignon était tout à fait opposée. Concernant sa carrière, elle a admis que ses premiers rôles étaient “plutôt comiques” lorsqu’on l’interrogeait. Il n’y a pas de place pour l’ennui dans ce métier, et c’est pourquoi je le fais.
Informations d’arrière-plan
Malgré ses premiers rêves de danseuse, elle décide de fréquenter le Conservatoire d’Avignon pour étudier la musique et le violon. Son envie de chanter est née alors qu’elle était une habituée des répétitions générales de l’Opéra d’Avignon. Après un revirement complet, elle s’inscrit à des cours de théâtre et de chant. Interprétant des standards de jazz, de l’opéra baroque, des opérettes et de la musique contemporaine, elle a fait ses débuts sur scène après avoir remporté le premier prix d’un concours de violon.
“Il en manque un pour faire un sextet”, déclare-t-elle à propos du quintette vocal qu’elle a formé avec des amis ; elle chante souvent pour Björk. Après s’être inscrite au Conservatoire national supérieur de musique en 2006 auprès de Robert Dumé et d’Alain Buet, elle remporte le concours de chant soprano en 2010.
Le Roi Arthur (Purcell) à l’Opéra Royal de Versailles dans une production de Shirley et Dino et Suzanne des Noces de Figaro (Mozart) à la Cité de la Musique de Paris, sous la direction de Kenneth Weiss, sont deux opéras qu’elle interprète cette année-là et qui lui valent la renommée. En plus d’être désignée « révélation lyrique » aux Victoires de la Musique, elle devient également marraine de « Tous à l’Opéra » de Ruggiero Raimondi et travaille avec le pianiste Alphonse Cemin sur un album de mélodies de jeunesse de Mahler et Debussy au meme annee.
Un tournant dans sa carrière est presque là. Elle débute sa carrière à l’Opéra de Nantes Angers dans le rôle de Musetta dans La Bohème de Puccini. Par la suite, elle chante la Grande Messe en do mineur de Mozart à Versailles, sous la direction de Laurence Equilbey, et incarne Eliza Doolittle dans My Fair Lady de Metz.