Jacques Hyver Est Il Vivant – Un enlèvement a eu lieu en Charente le 28 juin 1980, impliquant Michel Maury-Laribière, directeur de l’industrie du carrelage et vice-président du Conseil national du patronat français. Il y a une demande de trois millions de francs suisses ou de rançon. Le chef du SRPJ de Bordeaux, le commissaire Bardon, gère la situation. Après quarante-deux semaines, Jacques Hyver, 29 ans, a été placé en garde à vue.
Au même moment, il assassine la direction d’une discothèque. Hyver a l’intention d’enlever un banquier suisse et fait deux tentatives d’évasion alors qu’il purge une peine de douze ans de prison. En 2005, le délinquant a été libéré de prison après avoir purgé sa peine. “Tu t’appelles Hyver, Jacques”.
Dans la loge des assises de Charente, l’homme à qui s’adresse le président, M. Georges Pont, aurait tourné la tête vers le fond de la chambre, indiquant son intention de subir son procès en silence. Un procès sérieux cependant puisque lui et son ami Dominique Vernert sont jugés pour l’arrestation et la séquestration illégales de M. Michel Maury-Laribière, PDG des Tuileries et briqueteries françaises, alors vice-président du CNPF, et kidnappé. près de Confolens, où il réside.
Trois millions de francs devaient être demandés pour sa libération, mais cela n’a jamais été fait. Cela s’est produit entre le 28 juin et le 9 juillet 1980. Jacques Hyver n’a pas souhaité évoquer les raisons de son silence intentionnel.
Faut-il croire qu’elles se limitent à l’explication proposée par son avocat, Me François Gibault : Mon client vous assure qu’il a répondu adéquatement aux inquiétudes soulevées par le juge d’instruction et les policiers et il m’a demandé de vous informer de cela. Lorsque les premiers témoins se présentent, un psychiatre le remarque en disant : “Ceux qui se taisent sont ceux qui souffrent”.
Au fur et à mesure que cette affaire se déroulait, le public et les jurés ont eu droit à une histoire de méchanceté et d’amour fou. Car si un enlèvement peut commencer et se terminer, il implique inévitablement deux individus dont l’identité est inextricablement liée à l’acte dont ils doivent désormais rendre compte. Le silencieux et robuste Jacques Hyver, avec ses cheveux noirs portés comme un casque, n’est pas étranger au procès.
En fait, il est plutôt doué pour garder un œil sur les choses. Et au moment où son interlocuteur, Dominique Wernert, semble traverser une mauvaise passe, il sort un petit moment de son silence pour réaffirmer qu’elle n’était que son pion dans l’opération et qu’il était le seul à avoir pour superviser ses actions.
La dactylographe et le sujet malavisé
Leur intérêt commun est né en 1976, lorsque la fille d’un surveillant de la Marine et d’un petit dactylographe a rencontré un homme dont le père avait abandonné sa carrière d’ingénieur des arts et métiers et de chef d’entreprise en région parisienne après une série de tentatives infructueuses pour maintenir son poste santé mentale.
Serait-il juste de dire que Jacques Hyver a raconté à Dominique Wenert ce que l’on sait de son éducation et des racines de la rébellion ? En ce premier jour d’audience, on a peut-être passé sous silence l’événement qui a marqué sa jeunesse : le décès, à l’âge de vingt et un ans, d’une sœur aînée extrêmement fragile à laquelle lui et sa mère avaient apporté tant de soins dévoués.
Pourtant, il a connu une transformation dramatique à partir du jour de sa mort. Que signifiait pour lui son frère Michel, ce sujet exceptionnellement brillant que son père prenait souvent en exemple ? Le premier vice-président du Conseil national du patronat français (CNPF) ne s’est pas présenté à son usine charentaise le 28 juin 1980.
Le nom de ce patron a été ajouté à la liste des personnes enlevées. On peut s’attendre à sa libération le 9 juillet. Au volant de sa CX beige se trouvait Michel Maury-Laribière le 28 juin 1980. Doucement, le paysage charentais commence à s’agiter. Il semble qu’aujourd’hui sera une très belle journée. Le samedi matin, le patron emprunte la D 59 entre Confolens et Roumazières jusqu’à son usine, la Tuilerie briqueterie française (TBF).
Il trouve le calme et la tranquillité en se promenant le long de la Vienne, profitant des images et des sons. De plus, il profite de ce temps pour dicter sa correspondance. Peu après avoir salué le style de gestion et les résultats du dirigeant dans un article du magazine économique “L’Expansion”, il a fait référence à ce parcours dans ses chroniques.
Comme à son habitude, Michel Maury-Laribière suit la « charmante petite route Chirac » vers la fin du mois : juin. Un policier lui fait signe de s’arrêter à cet endroit. Moins d’une minute après que la vitre ait été baissée, le patron est…
Le procès des malfrats qui ont enlevé Michel Maury-Laribière, homme d’affaires associé à Confolens (carrelage et briqueterie, aujourd’hui Terreal) et vice-président du patronat français, deux ans avant le 14 septembre 1982, a dominé l’actualité régionale. C’est la police de Bordeaux qui a d’abord enquêté sur l’enlèvement et a appréhendé le complice de Jacques Hyver.
Pendant qu’il est en cavale, Hyver assassinerait un gérant de boîte de nuit et ne cesserait de réclamer une rançon à la famille Maury-Laribière. Il y aura une arrestation et un procès d’Hyver et de son complice. Ce type de banditisme s’est également abattu sur d’autres patrons puissants, comme le baron Empain. Lorsque l’assemblée générale de l’entreprise réunit 20 000 personnes en 1982, son éminent dirigeant, Michel Maury-Laribière, est chargé de la planifier.
Son ambition à l’époque était d’inciter un soulèvement mené par les entreprises contre le régime socialiste en formant un groupement tactique. Les salariés de son lieu de travail en Charente ont proposé de payer la rançon en groupe après son enlèvement. Le 10 juillet 1981, vers 20 heures, l’affaire est évoquée dans un extrait du journal télévisé.
Chaque voiture qui passe est arrêtée et interrogée par un bataillon de 600 policiers tout juste rentrés dans la ville. Afin de parler à Jean-Luc de son père, le ravisseur l’appelle au bout de six jours. Les autorités n’ont pas pu la joindre car la communication était interrompue. Pierre-Luc doit rencontrer le ravisseur à l’heure prévue s’il veut récupérer l’argent.
La véritable recherche du trésor peut commencer maintenant qu’il voit que les flics les poursuivent, mais elle sera en vain par la suite. Jean-Luc prend sur lui d’assister Jean-père Luc dans sa quête pour connaître la vérité sur l’enlèvement de son père à Paris. Un propriétaire et gérant de gîte en Charente qui avait accueilli un couple “étrange” s’est adressé à la police. Cela amène la police à arriver et à commencer à frapper à la porte.
Quand « la femme a crié ne tirez pas, j’ai le captif » dans la scène d’ouverture comme le dit Jacqueline Marinont ils savaient qu’ils étaient au bon endroit. L’enquête menée dans la station a conduit les autorités à retrouver Michel Maury-Laribière enchaîné à un lit. Au lieu d’exiger ou d’accepter de l’argent, ils l’ont gardé pendant onze jours avant de le libérer. Peu de temps s’écoule avant que la femme qui a avoué avoir caché le PDG révèle sa véritable identité et le condamne.
Jacques Hyver, un homme de 29 ans issu d’une famille respectable, est la femme qu’elle fréquente. Quelqu’un qui prend modestement des risques, qui aime les valeurs de la « famille décente » et aime être en compagnie de belles femmes. Le directeur de l’, Michel Maury Laribière, sera ensuite licencié par lui en 1980.
qu’il puisse enfin réaliser son ambition de longue date, celle de vice-président du CNPF et, plus important encore, d’une société de carrelage connue sous le nom de TBF. Hyver est appréhendé en Charente par de hauts responsables français le 28 juin 1980. Michael Maury-Laribière est enlevé vers 5 heures du matin près de son entreprise de Confolens.
Perchée sur le siège du CX se trouve une note portant l’écriture manuscrite du FM. Le directeur général a demandé 3 000 000 CHF dans une lettre de décharge pour assurer son bon retour. L’ascension fulgurante de Confolens vers la gloire a suscité l’intérêt du public et des forces de l’ordre. Cependant, vous serez désormais officiellement connu sous le nom de Jacques Hyver.
Tandis que le président des assises de Charente, M. Georges Pont, s’adressait à l’homme présent dans la salle, il pencha la tête en arrière, peut-être pour marquer son intention de garder le silence pendant le procès. Néanmoins, ces accusations sont remarquables car elles suggèrent que lui et son complice, Dominique Vernert, ont kidnappé et détenu illégalement cet individu.
A sa résidence de Confolens du 28 juin au 9 juillet 1980, M. Michel Maury-Laribière était présent ; il a été vice-président du CNPF et PDG des Tuileries et Briqueteries Françaises. Même lorsqu’une rançon de trois millions de francs suisses fut exigée, sa libération resta inexistante. Pour Jacques Hyver, la décision de rester flou lui appartient.
Vos opinions sur l’affirmation sur la nécessité d’en estimer la valeur ? Moi Pour sa défense, mon client François Gibault soutient qu’il a bien parlé au juge d’instruction et aux policiers et s’est enquis de vous. A peine les premiers témoins prendront-ils la parole qu’un médecin parlera de lui ; les malades silencieux.
Tout au long du procès, le public et le jury ont eu droit à un drame sombre qui parvient à être délicieusement romantique.
L’enlèvement, la préparation et l’exécution sont autant d’éléments nécessaires de cette histoire, tout comme le chemin emprunté par les deux personnes dont la vie est mêlée à la transgression dont ils sont désormais accusés. Jacques Hyver se démarque, masque ses cheveux noirs avec un casque, et est rude sur les bords de son savoir-faire.
Au final, il se révèle être un observateur incroyablement avisé. En m’approchant de la voiture, un frisson me parcourut le dos. Découvrir ce qu’il y a à l’intérieur de la voiture ne fera que rendre les choses plus intenses. J’ai décidé de récupérer le courrier qui reposait sur le siège passager. Par l’intermédiaire de Jean-Luc, nous a-t-on dit.
