
Flora Ghebali Wikipedia – Journaliste adolescente du nom de Flora Ghebali, elle s’est lancée dans le journalisme peu après son père Éric Ghebali. Elle perpétue une tradition familiale qui a commencé avec sa mère, la productrice et animatrice de télévision française Daniela Lumbroso. Voici une photo de Flora Ghebali que nous pouvons vous remettre.
Flora Ghebali est une entrepreneure, animatrice de podcast, auteur et journaliste dévouée. Elle a 29 ans et mène une carrière réussie. Aux côtés de l’économiste Olivier Badeau, du journaliste Benjamin Duhamel et de l’ancienne ministre Roselyne Bachelot, elle commente l’actualité sur le plateau de BFMTV depuis septembre 2022. La cause environnementale bénéficie également du soutien de la fille de Daniela Lumbroso.
Hommage à Flora Ghebali
Flora Ghebali est une journaliste française de 29 ans. Elle est la troisième et dernière femme de sa famille, née à Paris d’Éric Ghebali et Daniela Lumbroso. Son père égyptien a été l’un des premiers membres de SOS Racisme et est vice-président exécutif de Suez. Elle est née d’un animateur de radio et de télévision populaire dont la mère était d’origine italienne et tunisienne. Flora Ghebali a grandi dans un foyer où les disputes étaient monnaie courante.
Avoir une opinion et la respecter est important pour moi”, a-t-elle expliqué. Je peux vous dire d’où je suis autour de la table qu’elle tremble. Celsa, de la London School of Economics, est l’endroit où Flora Ghebali a obtenu son diplôme. Titulaire d’une maîtrise en droit public à son actif, elle est également titulaire d’un baccalauréat de la faculté de droit d’Assas. Flora, une jeune femme, n’a pas découvert le « lieu d’épanouissement militant » qu’elle espérait en étudiant la faculté de droit d’Assas.
Elle est cependant tombée sur un système alternatif, qui faisait passer « le bon code postal » avant le mérite. “Cela nuit à notre nation et à nos entreprises ; ce n’est pas méritocratique”, a-t-elle déploré. Néanmoins, ses souvenirs de son séjour à Assas ne se limitent pas aux souvenirs négatifs. Un « raisonnement juridique » était la chose la plus importante qu’elle ait retenue. « Estampillée par la droite à vie », c’est une autre façon de dire la dernière fille d’Eric Ghebali. Flora Ghebali se décrit aujourd’hui comme une femme d’affaires militante.
Elle devient membre de l’équipe de communication du Président de la République française à l’Elysée en raison de son engagement auprès des milieux politiques et sociaux. Elle a également accompagné des entreprises du CAC 40 dans la recherche de financements pour l’entrepreneuriat social alors qu’elle était employée par la Fondation la France.
Son engagement en faveur de l’environnement
Coalitions, agence d’innovation écologique et sociale cofondée par Flora en 2019, a cherché à accompagner les acteurs économiques dans leurs transitions. Coalitions se présente comme « une unité multisectorielle qui rassemble des talents engagés et compétents au service des transitions » sur son domaine.
Flora Ghebali continue de travailler pour atteindre les objectifs des Coalitions aux côtés de Nicolas Beretti, Nicolas Antoine, Paola Lira, Chloé Hadida et Allisson Paulo Miguel. Elle a décrit leur processus dans une interview avec Marie-Caroline Selmer publiée dans Forbes. Pour être claire, elle a précisé qu’être un décideur n’est pas toujours nécessaire pour apporter des changements sur les questions écologiques et sociales.
Il y a eu récemment une augmentation des changements ascendants qui ont un effet notable sur l’entreprise. Ces « intrapreneurs » bien connus sont ceux qui changent leur entreprise de l’intérieur. Les éditions de L’Aube ont publié son article « Ma génération va changer le monde » en 2021, et les éditions de l’Observatoire ont publié son essai « Le Syndrome de la Fourmi » en 2023.
Elle précise que son dernier ouvrage est un recueil de critiques. sur l’état du monde tel qu’il se présente actuellement. “Un test de témoignage est son objectif premier. Ma génération est bien représentée dans mes préoccupations sur le monde, et je pense qu’il est temps que nous ayons une plateforme pour partager nos idées sur la façon dont la société devrait être structurée.
Tout le monde suppose que les jeunes sont cyniques et égocentriques, mais en réalité, ils débordent d’optimisme et d’idées créatives sur la manière de rendre le monde meilleur. Elle a fait savoir qu’elle a la chance d’avoir travaillé en politique, dans les milieux associatif et commercial et qu’elle souhaitait proposer ses idées pour améliorer la collaboration et réenchanter notre pacte social.
Enraciné dans une longue tradition de journalisme dévoué
Eric Ghebali et Daniela Lumbroso sont les parents de Flora Ghebali. Daniela Lumbroso, productrice de télévision et animatrice de radio française, est née en Tunisie. Ses débuts à la télévision ont eu lieu alors qu’elle était une petite fille de sept ans. Elle chantait les vœux du Nouvel An aux Français en français et en italien. Alors qu’elle poursuivait ses études en sociologie, Daniela Lumbroso, alors âgée de 20 ans, commença à s’intéresser fortement à la radio.
Avant de rejoindre NRJ, qui vient de débuter en 1982, elle anime sa propre émission sur Radio Show. Rejoint Denis Balbir sur des éditions d’actualité courte, elle les présente. Maman Flora Ghebali a travaillé sur plusieurs chaînes de télévision œuvres, dont France Inter, TF1, Antenne 2, LCI, France 2 et RTL. En revanche, Eric Ghebali est diplômé en journalisme. Il a fondé les magazines Courrier International et Globe.
Il débute sa carrière dans le secteur de l’environnement dans les années 1980 et passe plusieurs années comme directeur du développement de Suez Environnement. Parmi ses actions alors qu’il travaillait pour Suez Environnement figurait l’acte d’accusation lié à l’incident d’Elf. Un autre homme politique devenu socialiste dans les années 1980 est Eric Ghebali. Cela l’a conduit à se lier d’amitié avec de nombreux hommes politiques, dont Julien Dray et Harlem Désir.
Lorsque les violences policières éclatent lors de la Marche pour l’égalité et contre le racisme, il fonde avec Bernard-Henri Lévy (ex-mari d’Isabelle Doutreluigne) l’association SOS Racisme. Son mandat y a duré plusieurs années en tant que secrétaire général. Le dimanche sur BFMTV, retrouvez la jeune femme issue du droit et de la communication, qui est également entrepreneur, auteur et podcasteuse dévouée.
Organiser une rencontre avec un tueur en série. Avec l’aide de l’économiste Olivier Badeau, du journaliste Benjamin Duhamel, de l’ancienne ministre Roselyne Bachelot et de Flora Ghebali, 28 ans, ils commentent l’actualité sur le plateau de BFMTV tous les dimanches depuis septembre. À l’aide de buzz rouges ou verts, les chroniqueurs s’expriment à tour de rôle en une heure sur des sujets très variés, comme la crise énergétique, l’émergence de l’extrême droite en Europe, ou encore le sexe et les violences de genre.
Cet artiste polyvalent est souvent en désaccord avec le panel de commentateurs tout en assumant le rôle de porte-parole générationnel, une approximation approximative de la réalité. Flora Ghebali, malgré son expertise en communication, reconnaît que la pratique hebdomadaire du direct télévisé est un défi et la fait sortir de sa « zone de confort ».
Même l’école de la Parisienne était prestigieuse. Elle a débuté son métier dans les relations publiques à l’Elysée pendant 2 ans et demi après avoir été diplômée du CELSA, la meilleure école de communication et de journalisme, en 2016.
“Cela vous confère une audace”
Deux écoles de pensée cohabitent ici : l’une extrêmement méthodique (« à ce niveau un mini-détail peut provoquer une tempête ») ; l’autre est plus audacieux : “quand on parle avec un président de la République, en l’occurrence François Hollande, on n’a plus peur de grand chose, commente celui qui ne fait partie d’aucun parti”.
Elle redoute d’être catégorisée, étant une tueuse en série infâme. Elle accompagne les entreprises impliquées dans le changement social et environnemental en tant que leader de son cabinet de conseil Coalitions depuis 2,5 ans. Parallèlement, elle publie un essai intitulé « Ma génération va changer le monde » (Ed. de l’Aube, 2021) à destination des décideurs et anime son propre podcast, « BLA BLA BLA », une émission diffusée depuis 20 ans minute de « réveil politique », depuis février.
Je m’efforce de construire des ponts, je démantèle les silos”, dit-elle. Elle a été classée parmi les 30 moins de 30 ans les plus influents de France par le magazine Forbes en mai 2021, et son plaidoyer transversal en faveur de la transformation environnementale a été un facteur majeur. En juin dernier, tout a culminé lors d’une conférence TEDx à Paris-Saclay.
Il n’a jamais voulu que la télévision soit une corde supplémentaire à son arc transdisciplinaire. (En a-t-elle déjà possédé un ?) Dès qu’une occasion se présente, la jeune femme n’hésite pas à en profiter. A moins que vous ne vouliez renoncer à votre dimanche soir devant les caméras de BFMTV à 18 heures dans le 15e arrondissement de Paris. Malgré son manque d’angoisse face à la charge de travail, elle concède que la transversalité est une perte d’énergie.
Et les raisons derrière cela sont atroces. Je ne suis pas journaliste, mais plutôt chroniqueur, et je dois vous le rappeler après chaque émission. C’est la même chose dans le monde entrepreneurial : tout le monde me dit : « il faut lever des fonds pour être crédible », alors que tout ce que je veux, c’est gagner de l’argent, pas devenir une licorne.
Bien que cela soit flatteur, je ne suis pas intéressé à poursuivre des études pour me spécialiser en tant qu’essayiste, comme mon éditeur me le conseille. Flora Ghebali est plus à l’aise pour explorer sans but, prendre des risques et rechercher le paradoxe. Elle est née dans une famille de personnes célèbres, elle n’a donc jamais été censée être distante.
Cette “fille de” assumée mais ne prétend pas avoir grandi dans une culture du débat, selon son père, Eric Ghebali, vice-président exécutif égyptien de Suez et membre fondateur de SOS Racisme, et sa mère, Daniela Lumbroso, un animateur de radio et de télévision à succès. Elle est née à Paris de ces parents.
Avoir une position et être prêt à la défendre est important pour moi. Si vous demandez à la plus jeune des trois sœurs, elle vous dira que la table tremble. Néanmoins, alors qu’elle poursuivait ses études à la faculté de droit d’Assas, ses convictions inébranlables et son appétit insatiable e pour l’argumentation ont été testés.
Le « lieu de développement militant » qu’elle envisage n’est pas là. Avoir le « bon code postal » est secondaire par rapport à ce qui compte vraiment pour elle ici, apprend-elle. Bien qu’elle soit favorable à une scolarité universelle, elle trouve répugnante cette méthode de production d’élites car “ce n’est pas méritocratique, cela nuit à notre pays et à nos entreprises”.
