
Fabienne Chauviere Mari – Fabienne Chauvière, réalisatrice de radio et de télévision et journaliste, est née à Angers le 11 juillet 1959 et décédée à Malakoff le 11 février 2024.
Entraînement
Elle possède une vaste expertise dans l’industrie alimentaire, ainsi que dans l’espace et l’énergie, et elle travaille également comme journaliste.
Télévision
Elle a commencé sa carrière de journaliste en 1981 à 19 heures. de la chaîne de télévision publique FR3 Basse Normandie, Fabienne Chauvière est une ancienne journaliste. Entre les années 1982 et 1985, elle contribue au journal télévisé du soir de FR3 Poitou-Charentes. Entre 1987 et 1995, elle anime l’émission hebdomadaire agricole et agronomique de France 3, D’un soleil à l’autre.
Radio
C’est en 1992 qu’elle fait ses débuts en tant qu’animatrice et productrice pour France Inter. Pendant huit épisodes quotidiens commençant en 1992 avec Vade Rétro et se poursuivant jusqu’en 1996 et 1997 avec Bouillon de dix Heures, Fabienne Chauvière est co-animatrice avec Marie-Laure Veyret. En plus d’avoir animé l’émission de 1999 à 2000, elle a également été leur animatrice de 2006 à 2007.
Sa série documentaire d’été de 2000 J’ai rendez-vous avec vous était consacrée à Georges Brassens. Les retours ont eu lieu en 2011 et 2016. Elle a présidé l’émission de minuit Contacts, plus intimiste, de 2001 à 2004, puis l’émission plus grand public Osmose de 2004 à 2008 jusqu’à remplacer Mathieu Vidard dans La Tête au Carré, elle l’a fait de 2007 à 2010.
Elle a rédigé des chroniques pour l’émission Questions de choix de la radio Franceinfo de 2010 à 2018.
De 2008 à 2023, elle a été l’égérie de l’émission scientifique Les Savanturiers, à la fois en tant qu’animatrice et rédactrice. Ce n’est qu’en 2021 que son podcast Le jour, basé sur des paroles d’universitaires et inspiré d’un livre, fait ses débuts auprès du public.
“A la suite d’une longue maladie”, elle est déclarée décédée le 11 février 2024. Une émission spéciale commémorative sera diffusée sur France Inter le 17 février 2024, en son honneur. Animé par Daniel Fiévet. Parmi les événements scientifiques les plus marquants de France Inter, “Les Savanturiers”, était son idée et sa production.
Vous trouverez peut-être plus d’informations sur sa carrière de communicante scientifique et sur sa vie en général en parcourant ses archives. À l’âge de 64 ans, la radiodiffuseur scientifique populaire Fabienne Chauvière s’en va le 11 février 2024. Il revient sur son parcours et retrouve Hervé This, le physico-chimiste et inventeur de la gastronomie moléculaire, qui fut son précédent collègue à l’antenne.
Comme le disait Fabienne Chauvière dans une interview à Télérama, en 2021 à propos de son rapport à la radio, je me suis toujours sentie bien, à ma place, derrière un micro. Écouter la radio n’est pas aussi intimidant que parler en public, car la plupart des gens qui l’écoutent le font seuls. Chacun d’entre eux retient mon attention personnelle. Ajouter de la musique et des jingles me permet de leur raconter de belles histoires grâce à la manipulation sonore.
Après avoir réalisé que mes initiatives m’offriraient une plus grande liberté de création, j’ai décidé de quitter les journaux. Mais elle est apparue pour la première fois à la télévision en tenant un micro. De toute évidence, c’est exact d’après nos archives. 1980. Comme écrivaine pour la télévision, Fabienne Chauvière fait ses débuts chez FR3.
Dans d’autres éditions régionales, on peut la voir en reportage (au festival de jazz d’Angoulême), en animation (co-animation avec Simone Veil), ou encore en interviewant des personnalités locales et gouvernementales lors de ses tournages. Il a également partagé la vedette avec Henri Sannier dans “Normandie Soir”. Nous sommes le 20 juillet 1981 et Fabienne a récemment eu 22 ans. Présentant ce jour-là “Les news en rafale”, résumé de l’actualité régionale, elle a dû faire face à un obstacle technique.
Premières manœuvres radio en couple
La télévision va me manquer : En 1992, France Inter acquiert Fabienne Chauvière. Pierre Bouteiller, alors à la tête de France Inter, entendait donner à l’émission un nouveau son et un ton plus féminin. Il les présente à Marie-Laure Veyret et Fabienne Chauvière, deux jeunes journalistes de télévision. L’attitude « Canal » qu’ils incarnent n’est pas sans rappeler celle de France Inter de l’époque.
La réalisatrice Michèle Bedos, qui a collaboré avec le duo au début des années 90, rappelle qu'”il voulait construire un pont et trouver de nouvelles voix”. Elle a été très impressionnée par l’esprit frais et l’irrévérence que « les filles », comme elle les appelle, ont apporté au micro. Même s’il n’y avait « aucune animosité » à l’arrivée du vidéaste, il a néanmoins trouvé beaucoup de curiosité.
“En effet, nous les considérions souvent comme des “petites souris” quelque peu particulières”, réfléchit-elle. “Vade Retro” de 1992 a donné l’impulsion, et les deux journalistes ont eu la responsabilité de créer l’ambiance. Suite à l’accident de Daniel Mermet, producteur de “Là-bas si j’y suis”, ils ont dominé l’émission.
L’apparition de Paul-Loup Sulitzer dans l’émission a débuté avec ce format. Il suffit pour lancer la diffusion d’un clin d’œil à le producteur au lit. Sur l’appel archivé, on peut entendre les deux “souris” lui souhaiter un prompt rétablissement de leurs voix distinctives. Ils travaillent toujours ensemble sur “Bouillon de onze Heures” (1994-1996) et fournissent des informations utiles, même si la date de diffusion de “Dix Heures” a changé.
Écrire sur l’enfance et la santé est la spécialité de Marie-Laure Veyret. De plus, Fabienne Chauvière répond aux préoccupations des clients. Il y a une ironie sous-jacente dans cette phrase, car « donner le bouillon de onze heures » signifie, peu connu, empoisonner quelqu’un. Mais il y a un ton vraiment comique dans la série. Travailler ensemble pendant cinq ans a été leur engagement total.
Le départ de Marie-Laure Veyret n’enlève rien au statut de Fabienne Chauvière comme habituée de la grille et voix de référence de l’Inter. Michèle Bedos dit : “Je me suis enfouie dans mes souvenirs”, expliquant que cela a toujours été son but dans la vie. Fabienne m’a assuré qu’à son arrivée à Paris, elle était assise dans les cafés d’en face, rêvant de se lancer dans l’industrie de la radio, parce qu’elle voulait désespérément faire de la radio.
L’ancien réalisateur du film a déclaré à propos de la protagoniste : “C’est quelqu’un qui voulait vraiment faire de la radio, qui avait des idées et qui travaillait”, évoquant l’immense détermination et la persévérance de la protagoniste à réaliser ses ambitions.
Jusqu’à présent, cela a fonctionné de manière indépendante
La radio qu’elle aimait, France Inter, a retenu toute son attention pendant 32 ans. A deux heures de l’après-midi en 1996, Fabienne Chauvière anime “Sur un petit ciel” (1996-1997). Un appel séduisant « aux rêves et à l’esprit errant » accompagné de la promesse séduisante : Et attachez votre ceinture, car vous n’y croirez pas non plus.
Son rôle de leader dans l’émission d’interviews/reportages “Tous terrains” (1997-1999) débute l’année suivante, en 1997. Nous rencontrons ici Annie Van de Wiele, première femme à avoir fait le tour du monde en juillet 1951.
Pour commencer, que disent les gens quand il est 2 heures du matin au milieu de la nuit ? Et comment vas-tu ce soir ? Bonjour? Comment ça se passe? Grazie. Même lorsqu’il fait noir dehors, Fabienne Chauvière contrôle le ciel. En 2001, elle change de voie et devient l’animatrice de « Contacts », une émission dédiée aux personnes qu’elle a eu l’honneur de rencontrer et d’échanger. Nathalie était une auditrice russe qui avait passé une annonce matrimoniale ; elle et sa première conversation ont eu lieu le 9 septembre 2001.
Expert en la matière dans les disciplines STEM
L’œuvre marquante du producteur comprend “Tout s’explique” (2002-2010) aux côtés de Denis Cheissoux, “Vues de l’espace” (2002-2004), “Osmose” (2004-2008), “Les savanturiers” (depuis 2008). ), et « Vivre avec les bêtes » (2010-2011) co-animé avec la philosophe Élisabeth de Fontenay. Tout au long de ses huit éditions estivales, “Tout est expliqué” a captivé à la fois les passionnés de sciences et ceux qui se prenaient à tort pour des ermites.
Denis Cheissoux prendra la relève en juillet, et Fabienne Chauvière suivra en août. Comme c’est son style, la productrice tisse habilement des interviews, des reportages sur la scène et plusieurs journaux intimes. En accompagnant les scientifiques pendant qu’ils travaillent, elle est capable d’extraire l’essentiel de leurs connaissances.
À partir de là, ses auditeurs devront faire confiance à ses capacités oratoires pour comprendre. Les archives captivent Fabienne Chauvière, tout aussi intéressée par l’histoire, le présent et l’avenir de la science ; elle est aussi plus que prête à passer le micro à des chroniqueurs tout aussi passionnés qu’elle mais qui n’ont pas l’habitude d’être sur cassette. Grâce à l’ina.fr, les auditeurs ont accès depuis huit ans à la collection de l’INA, qui comprend des archives scientifiques rares et inédites.
“Tout est clarifié” Centre de recherche
C’est le talent remarquable de Fabienne Chauvière de captiver un public avec les problèmes scientifiques les plus complexes. Son attrait dépend grandement du choix des inscrits. Elle intègre sans effort un chercheur doté de capacités de présentation captivantes dans ses émissions. André Hervé Tout le monde est d’accord : c’est génial. Tout ce qui pouvait le combler était son intelligence remarquable, son génie formel et sa formation scientifique fascinante.
En 1988, lui et un autre individu ont inventé le terme « gastronomie moléculaire » ; la spécialité est rapidement devenue connue dans le monde entier. Ce nouveau domaine d’étude a remis en question les idées reçues sur l’alimentation en appliquant des techniques scientifiques d’observation et de calcul à la cuisine résidentielle.
